La société postindustriel par S.Sassen

Publié le par olivier Legrand

source:
Sassen S. (2001), The global City Second editions, Princeton University Press, Princeton, Oxford, p.433

« Nous pouvons identifier au minimum trois corps théorique majeurs qui porte sur la question de l’articulation des secteurs économiques leaders avec le reste de l’économie et plus généralement les conditions socio-économique dans les villes actuellement sous le régime des services avancés. Une, est la théorie générale du développement économique, une autre, le modèle de la base économique ou du secteur d’exportation dans l’économie urbaine et ses effets multiplicateurs et le troisième, le modèle sociologique de l’économie postindustriel.
    Selon la théorie général du développement économique, quand le développement de l’économie progresse il va occasionner une généralisation du marché et des relation marchandes , un accroissement du de nombre de sphère institutionnelle dans la société. Dans le cas du marché du travail, cela implique un agrandissement de l’incorporation des travailleur, et des actif en général, à l’intérieur d’une relation de travail formelle. Ce processus fait partie de l’expansion de la capacité de régulation et de l’intervention de l’état [intend of the state]. La période de croissance rapide après la Seconde Guerre Mondiale a été , en effet, caractérisé par l’accomplissement d’un haut niveau de développement économique dans la majorité des pays industrialisé et l’augmentation de l’incorporation des travailleurs dans le marché formelle de l’emploie. Une série d’aspects régulateur assuré que la majorité des travailleurs avaient un emploi à plein temps, toute l’année, avec souvent une assurance sur le chômage et la retraite.  Les syndicats étaient centrale dans cette expansion de la relation formelle au travail. Le Fordisme est la version la plus institutionnalisé de ce modèle du marché du travail. [This process was to continue as development proceeded to higher stages]. On pourrait pensé, en accord avec cette thèse, que les villes leaders dans les pays les plus avancés, seraient certainement caractérisé par une forte expansion dans le partage de l’incorporation des travailleur dans un marché du travail formelle hautement développé et englobant. L’augmentation des emploies temporaires sera interprété comme un développement [lay] posé ou exogène aux secteur avancé de l’économie, par exemple , le marché du travail informelle peut être vue comme importé à travers l’immigration du tiers monde.
    Le modèle des industries de bases contre les industries non de base, domestique, porte sur la question de l’activité économique urbaine [city-building](Mayers 1969 ; Alexander 1954). Ce sont les activités d’exportation (international et domestique incluses) qui deviennent un véhicule pour les effets multiplicateurs qui contribuent à l’expansion des autres secteurs de l’économie qui servent les industries de bases. L’exportation apporte une source exogène de revenus additionnelle pour les villes et induit une demande pour les services soutient additionnelle derrière ceux requis pour la population résidantes. L’expansion des secteurs domestique de l’économique est basiquement reproductif, il ne peut pas générer de nouvelle croissance. Les débats se sont concentrés sur la question si l’industrie manufacturière gardé toujours a être le secteur de base, c’est en effet ainsi dans l’aire actuelle. Les arguments classiques pour les services comme secteur de base ont été développés par  Blumenfeld (1955) et par Tibout (1957) ; la notion de service comme base économique semble être particulièrement approprié pour le cas des villes qui sont des centres leaders dans la production et l’exportation de production de services [producer services]. Cette thèse suggère que le haut niveau des exportations et leurs valeurs élevé dans les trois villes étudiées (New York, Londre, Tokoyo), doit avoir un effet aussi multiplicateur et que les bénéfices doivent être évidemment couvrir une large gamme de l’industrie de ces villes.
    Dans sa formulation originale et riche, le modèle postindustriel posait une transformation majeure, [one where] l’expansion de la force de travail hautement éduquée et de la centralité des industries du savoir conduirait à un accroissement généralisé de la qualité de vie et une attention plus grande au social et aux dépens d’objectif économique étroit. Il est impossible de récapituler la thèse dans son entier et non nécessaire donné par les textes familiarité répandue des textes de Bell (1973). Pour notre sujet ce qui compte est la notion de Bell sur la hiérarchie dans  la croissance des services, le premier type de service développé fut ceux lié à l’industrie, principalement le transport et la distribution, et les derniers furent  ceux lié à la qualité de vie. Pour Bell, cette dernière étape dans le développement des services sera caractérisée par une nature plus collective ou communautaire, donnant le type de besoins auxquelles il répondent et le caractère publique de provision pour beaucoup de ces services. De plus la prédominance du savoir théorique et technique avec une base scientifique fait de la société postindustriel reposant sur le savoir. Le problème central de la société n’est plus le capital ou l’organisation du travail mais l’organisation du savoir scientifique. Ce qui signifie que la classe des professionnelles et des techniciens ne fait pas qu’augmenter, elle devient le centre vital de la société postindustrielle. C’est une classe hétérogène et stratifié, allant des professeurs et travailleurs sociaux aux ingénieurs et les scientifiques. C’est une élite illuminée pour qui les politiques peuvent jouer un rôle dans le changement de l’ordre social. La transformation du travail est aussi évidant dans l’organisation des entreprises et du pouvoir. La prédominance des services est attendu impliquant la croissance des entreprises de petit taille où le savoir professionnelle est plus important, contribuant à rendre les entreprises et l’organisation du travail plus humaine et social. Ce représente la transformation d’un mode économique à un mode plus sociologique de pensé dans le management des entreprises et de la société.
    Plusieurs éléments dans ce modèle ont certainement pris place. Si nous considéreront les producteurs de services et de finances comme des industrie du savoir, alors il est évident qu’il y a eu une croissance rapide dans de tel industrie et qu’elles sont devenus le secteur dominant dans les économies avancés. De plus il y a eu une expansion des [highly professional-level jobs] et une augmentation dans les strates des hauts salaires des travailleurs. Enfin, la gentrification à haut revenu comme nous le voyons dans ces trois villes représentent dans plusieurs points une amélioration de la qualité de vie pour ceux qui en bénéficient. Les importantes questions qui apparaissent sont en premier, si l’augmentation du travail faible qualification et du travail informelle et temporaire sont ou ne sont pas articuler avec cette forme  de services avancés. Deuxièmement, est-ce que la croissance rapide dans le nombre de petit entreprise dans les services avancés altère la nature de la concentration dans ces économies ? " p.252-254

Bibliographie
Alexender J. (1954), « The Basic-Nonbasic Concept of Urban Economic Functions », Economic Geography, Vol.30(3)
Bell D. (1973), The Coming of Post-industrial Society : A venurein Social Forecasting, Baic Books, New York
Blumenfeld H. (1955), « The Economic Base of the Metropolis », Journal of the American Institute of Planners, Vol.21
Mayers H. (1969), « Making a Living in Cities : The Urban Economic Base », Journal of Geography, Vol.18 (2), pp.70-87
Tiebout C. (1957), « Location Theory, Empirical Evidence, and Economic Evolution », Papers and Proceeding of the Regional Science Associations, Vol.3, pp.74-86

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